mardi 24 mars 2009

La confession impossible

Imaginez-vous confesser votre vie à quelqu'un de vos proches avant votre mort ou après votre mort ?
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4 Comments:

Anonyme said...

Mon compagnon est décédé il y a peu. Et de son vivant, il m'avait demander de parler de son homosexualité à son fils.Chose que je n'ai pas fait car j'avais bien trop de crainte qu'il lui tourne le dos ou alors qu'il me rejette et je sais que cela aurait tué mon chéri avant son heure.
Mais après réflexion, j'ai décidé de le lui dire.Je sais, enfin je ne suis pas son fils, que cela va pouvoir l'aider à mettre certaine pièces du puzzle à leur place. Puis cette étape va aussi me permettre de terminer mon deuil. (pour que cela soit plus simple : mon compagnon était bien plus agé que moi, il était marié mais n'avait plus comme bien des homos marié de relation sexuelle et même de vie de couple depuis bien longtemps.)
Il a souffert 70 ans de sa vie avant que l'on se rencontre. Je lui ai offert la possibilité de vivre son homosexualité le plus simplement du monde sans avoir a se cacher la plupart du temps.Mais cela ne suffit pas. Etre libre c'est ne pas se mentir si difficile que soit de dire la vérité . Il est plus juste pour moi de souffrir en étant libre que de rester prisonnié la plus grande partie de sa vie sur cette terre.

ourspoilu2 said...

Oui, j'y pense au moment fatidique de ma dernière heure, de ne plus me cacher et d'avouer que certaines avances plus ou moins directes d'un parent envers moi m'auraient plu.

Anonyme said...

on n'a pas à se confesser ni à avouer l'homosexualité n'est ni un péché ni un crime j'ai vécu situation semblable avec mon ami décédé en1993 à 78 ANS ET MOI 40 après son décès son épouse m'en a parlé ouvertement elle savait tout elle m'a remercié d'avoir donné du bonheur à son homme elle m' a certifié comprendre ma peine le fils m'en a touché un mot une fois seul chez moi il en avait marre de sa femme de sa fille et de la belle mère il a mis sa tete sur mon épaule il s'est libérer de ses frustrations de toutou à ces dames ce jour la nous avons parlé beaucoup mais la semaine suivante nous nous sommes donnés il en avait besoin et moi aussi pour faire notre deuil j'ai cru revivre avec Laurent et lui a pu s'imaginer ce que son père pouvait éprouver.on se voit mais sans sexe j'ai refait ma vie et il le comprend mon ami aimerait pourtant passer un moment avec lui le temps décidera

Anonyme said...

on n'a pas à se confesser ni à avouer l'homosexualité n'est ni un péché ni un crime j'ai vécu situation semblable avec mon ami décédé en1993 à 78 ANS ET MOI 40 après son décès son épouse m'en a parlé ouvertement elle savait tout elle m'a remercié d'avoir donné du bonheur à son homme elle m' a certifié comprendre ma peine le fils m'en a touché un mot une fois seul chez moi il en avait marre de sa femme de sa fille et de la belle mère il a mis sa tete sur mon épaule il s'est libérer de ses frustrations de toutou à ces dames ce jour la nous avons parlé beaucoup mais la semaine suivante nous nous sommes donnés il en avait besoin et moi aussi pour faire notre deuil j'ai cru revivre avec Laurent et lui a pu s'imaginer ce que son père pouvait éprouver.on se voit mais sans sexe j'ai refait ma vie et il le comprend mon ami aimerait pourtant passer un moment avec lui le temps décidera